„Heureusement, la noirceur des scènes trouve sa lumière dans l'excellente qualité vocale des interprètes. Ainsi, grâce à sa voix admirablement homogène, à ses aigus claironnants, l'Amelia de la soprano bulgare Gabriela Georgieva se profile en femme consciente de son amour coupable. Elle est si convaincante dans l'expression de ses sentiments que les limites qu'elle impose à son jeu scénique n'est aucunement déphasé avec le propos de l'intrigue.“ Jacques Schmitt |
|
|